Chez tout être vivant, l’équilibre des interactions sujet-environnement est global. Il n’y a pas un équilibre « social, émotionnel, psychique, cognitif » d’un coté et un équilibre « somatique, biologique, cérébral » de l’autre, séparé et autonome.
Ces considérations sont essentielles pour qui aborde les relations entre stresseurs, individus et pathologies.
Le concept de stress est un concept biologique et est l’un des plus intégratif de la biologie et la médecine.
IL N’Y A PAS DE STRESS SANS MANIFESTATION BIOLOGIQUES.
Non seulement tout l’organisme est mobilisé pour des réponses physiologiques et comportementales mais les conditions intrinsèques et environnementales et les caractéristiques propres à l’individu sont parties prenantes, souvent causales, du processus.
Aborder la question du stress, c’est aborder une complexité qui va du psychisme vers le corps, et vice-versa.